1. |
La fuite
04:09
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Une autre vie dans le même décor
Ca devient presqu’une habitude
La solitude entourée de morts
À la recherche de plénitude
La fuite – Je retombe au même point
Des kilomètres d’inutiles
Je retombe au même point
Je m’assombris, je pense à toi
Autre nuit, une bête de foire
Ca devient comme une habitude
La solitude entourée de corps morts
À la recherche de certitudes
Des kilomètres d’inutiles
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2. |
Procession fanatique
03:56
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Prise de conscience, Triste constat
Le années à venir seront sombre
Les opportunistes montent au front
Pour batir sur la peur de l’autre
Subdividser les divisions
Bientôt chacun aura son enclos
Le mien sera beau, multicolore
Les portes ouvertes avec vue sur la mer
Procession (de) fanatiques
Peuvent bien tous brûler en enfer
Expulsés par la multitude
La voie de l’extinction, la voie rapide
Une mort annoncée, si prévisible
Tout va pour le mieux, c’était prévu
Rien à changer tout est parfait
Mais on a rien écouté
Encore moins bien retenu
Mais on a rien écouté……..
Procession (de) fanatiques
Peuvent bien tous bruler en enfer
Expulsés par la multitude
Encore et encore et encore
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3. |
Triste indifférence
04:04
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Épuisé, désespéré
Combien de temps à pouvoir continuer
Le décor s’est figé
Tout est chaos à mes cotés
Ma vie tout en noirceur
Quelques rayons exaspérés
Les rêves déboulent sans jamais
Se concrétiser, jamais concrétiser
Le temps s’est arrêté
Le silence tombe à point
L’anarchie des sens
Et le contrôle en absence
Du haut de l’escalier
Les filles qui se mettent à crier
En noir et blanc, l’indifférence
Triste indifference x 2
Le Temps s’est arrêté
Le décor s’est figé tout est chaos à mes cotés
Le temps s’est arrêté
La vie tout en noirceur quelques rayons éparpillés
Le temps s’est arrêté
Du haut de l’escalier les filles qui se mettent à crier
Le silence tombe à point
Épuisé désespéré
Combien de temps encore à pouvoir continuer
Le décor reste figé
Combien de temps encore à pouvoir advancer
En noir et bleu, l’indifférence
Triste indifference x 2
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4. |
Crier tout bas
04:29
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Je t’ai vu tracer le long du paysage
Une ligne des aimées qui détruisent ton langage
Et quand tu chantais plus fort dans ton silence
Je voyais les larmes couler toujours à contresens
Mais quand les saisons attendront ton retour
Ce sera le vent qui portera secours
Et si la terre est sombre, et si la pluie te noie
Raconte-moi, qu’on puisse trembler ensemble
Et si le jour ne vient pas dans la nuit des perdus
Raconte-moi, qu’on puisse crier tout bas
Crier tout bas
J’ai voulu calmer ton souffle qui s’étouffait
Des courses vers le vide, ton rire qui soupirait
Si tu mets le cap vers des eaux restant troubles
Je serai le phare qui te guidera toujours
Mais quand les saisons attendront ton retour
Ce sera le vent qui portera secours
Et si la terre est sombre, et si la pluie te noie
Raconte-moi, qu’on puisse trembler ensemble
Et si le jour ne vient pas dans la nuit des perdus
Raconte-moi, qu’on puisse crier tout bas
Crier tout bas
Je t’ai vu tracer le long du paysage
Une ligne des aimées qui détruisent ton langage
Et quand tu chantais plus fort dans ton silence
Je voyais les larmes couler toujours à contresens
Et si la terre est sombre, et si la pluie te noie
Raconte-moi, qu’on puisse trembler ensemble
Et si le jour ne vient pas dans la nuit des perdus
Raconte-moi, qu’on puisse crier tout bas
Et si la terre est sombre, et si la pluie te noie
Raconte-moi, qu’on puisse trembler ensemble
Et si le jour ne vient pas dans la nuit des perdus
Raconte-moi, qu’on puisse crier tout bas
Crier tout bas
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5. |
Le troupeau
02:29
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Le cadran sonne une autre déprimante
Referme les yeux en désespoir de cause
Immobile, écrasé par les draps de béton
La tête vissée à l’oreiller
Tout ce qui bouge n’attend pas l’autre
Toujours en retard
À trop vouloir être des vôtres
Le troupeau se distance
La nuit s’effondre une autre déferlante
À fermer les yeux en désespoir de cause
Combler l’espace laissé par les plans, les brouillons
À tête perdue, l’immensité
Tout ce qui bouge n’attend pas l’aube
Toujours en retard
À trop vouloir être de vôtres
Le troupeau se distance
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6. |
Le silence est d'or
03:06
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Quand les mots s’entrechoquent
Déviés de leur trajectoire
Quand le sens perd le nord
Et mène au désespoir
Quand l’ignorance triomphe
Mène l’ignoble au pouvoir
Les mots s’entrechoquent
Deviennent des projectiles
Quand la peur interpelle
Propulse la bravoure
D’un sauveur dérangé
De l’ennemi nous a sauvé!
Dans sa tête
Quand les mots s’entrechoquent
Deviennent des projectiles
Le silence est d’or (x2)
Quand l’ignorance triomphe
Et le sens perd le nord
Le silence est d”or (x2)
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Les DeadZ Saint Jean Sur Richelieu, Québec
Les DeadZ, c’est un peu comme un gros Transformer de 7ème génération. Depuis 1992, on a vu les membres du groupe opérer dans diverses formations telles que Jaymie et Subb, mais aussi New Fist, Armand Frontal et The Translaters avant de former Low Dead Volume en 2010. C’est donc une décision purement spontanée de tenter une reconfiguration francophone en 2017 et de la renommer Les DeadZ. ... more
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